Je pense que j'ai trouvé le titre et la nature/fonction de ce blog joueb.
J'ai cherché quelque chose qui se détachait dans Passé Simple, quelque chose ayant une autre importance, quelque chose d'un peu à part et qui pourrait faire l'objet d'un carnet à part entière.
Je n'ai pas trouvé.
Mais alors que je réfléchissais à un banal entretien d'embauche à venir, alors que je rédigeais des CV à la pelle, butant sur la rubrique "centres d'intérêt", alors que dans le métro je tentais de remplir cette case blanche, j'ai compris que tout n'était pas perdu. Et que si la surface de mon corps, de ma vie, semble lisse comme la peau des filles dans les pubs, il existe toutefois une petite boursoufflure : le cinéma. Ou l'image. Le mouvement. Une certaine manière de voir les choses, le monde.
Ces derniers temps, je me suis surprise à voir différemment. Comme cherchant à saisir quelque chose. Et à penser des trucs autour d'un même axe.
A suivre, donc...
Commentaires :
Quel bloguage ?
Depuis la reprise du rythme hebdomadairien (ie métro (un peu), boulot (très peu), dodo (beaucoup !)), je n'ai guère avancé sur les quelques
postsbillets déjà publiés ici-bas.Je voulais juste ajouter un petit commentaire qui me traîne dans la tête depuis dimanche mais que je n'avais pas eu le temps de concrétiser sur page oueb : je me suis rendue compte que je tiendrai ce carnet comme on tient une discussion (ce sera un soliloque ? qu'importe...), revenant en arrière, corrigeant, argumentant, étoffant, etc.
Aucune vision d'abouti, rien que du provisoire, du changeant...
Je regrette régulièrement que les billets, qu'ils soient écrits à la va-vite ou finement élaborés, tombent dans l'oubli de l'archivage. D'autant que les archives de mes propres sites ont la fâcheuse tendance de ne pas marcher droit. Le petit mot "nouveau" affiché sur les jouebs m'a donné cette idée d'indiquer la dynamique du site. Je mettrai ici mes quelques pensées, spontanées ou non, qu'elles soient achevées ou en cours. Car là est bien un de mes (nombreux) problèmes : j'ai toujours dix mille choses en tête et suis souvent obligée d'en laisser tomber bon nombre avant de pouvoir tirer quelque chose d'une seule.
D'ailleurs, ces quelques lignes me lassent déjà.