Aujourd'hui sur France Inter : Etes-vous influencé par la critique dans le choix de vos films ?
C'est Patricia Martin qui pose la question, et ses invités, Michel Ciment et ..., qui tenteront d'y répondre.
Ce soir sur Arte : La nuit américaine de François Truffaud.
Mais il faudrait, vraiment, que Arte cesse de programmer des films avant 20:50 : c'est vrai, quoi, on ne peut pas regarder Cannes et le début de La nuit...
Idée : les films qui parlent de films. (ex : La petite Lili, Claude Miller)
La France est un pays riche au point de vue du cinéma
. De par notre culture, nous avons une approche particulière du cinéma.®
laquelle ? quelle spécificité ?Ouverture des Français, qui s’intéressent à toutes les formes, tous les genres, s’investissent dans la création et la diffusion.
(c.f. un article de Télérama)
L’image de la France dans le monde, ce n’est pas seulement de la politique et de l’économie, c’est aussi l’exception culturelle, qu’il convient de conserver, enrichir, développer.
P.S. : Cette réflexion m'est venue en regardant le Festival de Cannes. Comme quoi...
Je pense que j'ai trouvé le titre et la nature/fonction de ce blog joueb.
J'ai cherché quelque chose qui se détachait dans Passé Simple, quelque chose ayant une autre importance, quelque chose d'un peu à part et qui pourrait faire l'objet d'un carnet à part entière.
Je n'ai pas trouvé.
Mais alors que je réfléchissais à un banal entretien d'embauche à venir, alors que je rédigeais des CV à la pelle, butant sur la rubrique "centres d'intérêt", alors que dans le métro je tentais de remplir cette case blanche, j'ai compris que tout n'était pas perdu. Et que si la surface de mon corps, de ma vie, semble lisse comme la peau des filles dans les pubs, il existe toutefois une petite boursoufflure : le cinéma. Ou l'image. Le mouvement. Une certaine manière de voir les choses, le monde.
Ces derniers temps, je me suis surprise à voir différemment. Comme cherchant à saisir quelque chose. Et à penser des trucs autour d'un même axe.
A suivre, donc...
Alors que l’étude des concepts de soi en psychologie sociale se révèle aussi vaste que l’empire d’un César, pour moi qui ne suis qu’une petite fourmi, je m’interroge aujourd’hui dans ce métro – support des déplacements de mon corps comme de mon regard et de mes idées – je m’interroge, donc, sur le concept de blog.
Parce que j’ai voulu tester, moi aussi, les jouebs (depuis le temps que je les regarde de loin…), par curiosité plus que par intérêt, j’ai créé... un blog sans nom.
La curiosité, c’est bien. Et créer un joueb, c’est facile. Reste ensuite à savoir qu’y mettre, comment le remplir, éventuellement à réussir à le faire vivre… S’est posé alors la question, ou plutôt deux questions : quel titre et quel contenu ? Ou encore : quel concept de blog adopter ici ?
Voici quelques points de départ de mon cheminement :
1) Il ne s’agira pas d’un carnet intimiste.
Je ne trouve en effet aucun intérêt à raconter ma vie, mon quotidien. Il est ce qu’il est (je le trouve plutôt bien), mais de là à le partager, bof. Je m’éloigne par là même de l’idée première ( ?…) ou du moins la plus répandue du weblog défini comme journal intime.
Pour ma part, je préfère écrire mes idées, mes réflexions (elles sont ce qu’elles sont) plutôt que mes faits et gestes. Peut-être est-ce par peur de me voir jugée par des inconnus ? J’ai pourtant le sentiment d’être très égoïste quand je blogue1. Ouep, je crois bien que je blogue d’abord pour moi.
2) A la rigueur, j’aurais pu envisager de faire une sorte de ficlog2.
Effectivement, en sortant de chez moi ce jour là, j’ai pensé que ma vie ne valait sûrement pas un roman (heureusement ?…), mais que ça n’empêchait pas de la romancer. Pourtant d’autres le font beaucoup mieux que je ne le pourrais.
3)
1Si je décide d’employer le terme carnet ou joueb (mais je n’aime pas trop, joueb… ça sonne jouet à mes oreilles, gadget, inutile, pour les enfants…) plutôt que blog, weblog, qu’utiliser à la place de bloguer/poster ? Carneter ?
2Est-ce bien ficlog le terme adéquat ? Je ne sais même plus…